MUNZ FLOOR

Une méthode innovante, intuitive, douce

Un temps pour soi

L’extraordinaire pouvoir des FASCIAS, organe humain dont on connait aujourd’hui l’importance. Ce sont des tissus conjonctifs capables de produire des protéines de jouvence : l’élastine et le collagène

Un massage interne profond

Un travail au sol, des mouvements permanents en spirale

Un froissement et défroissement intramusculaire

Une lenteur dynamique

Le diaphragme et le psoas sont massés profondément

Vous souffrez de douleurs chroniques ? De migraines ? Vous dormez mal ?

VENEZ ESSAYER ET VOUS SEREZ CONQUIS !

Avec Isabelle HERNANDEZ, coach certifiée

 

 

 

EN VISIO : un ordinateur surélevé, une webcam, un espace de 2m50 au sol autour de vous, un grand tapis ou plaid ou couverture, une tenue confortable et claire

TARIFS

15€ à l’unité

120€ carte de 10 cours

320€ annuel pour 1 cours/semaine de septembre à juin

510€ annuel pour 2 cours/semaine de septembre à juin

PLANNING 2024/2025 PLUS BAS

Savez-vous que des études montrent que le fascia est plus douloureux que la peau ou les muscles?

Quand l’on touche le fascia, l’on touche directement et sommes en interrelation direct avec le système nerveux autonome.

Le fascia et le système nerveux autonome semblent être intimement liés. La stimulation des mécanorécepteurs entraîne un abaissement du tonus sympathique ainsi qu’un changement de la viscosité des tissus locaux.

Le réseau fascial est l’un de nos organes sensoriels les plus riches.

Comme le fascia est innervé, il peut également être une source importante de douleur. Cela dit, la contribution des fascias aux syndromes douloureux ne peut être sous-estimée.

Le fascia contient à la fois des mécanorécepteurs et des nocicepteurs et a également une fonction proprioceptive.

Mécanorécepteurs:

Les fascias sont densément innervés par des mécanorécepteurs (organes terminaux de Golgi, corpuscules de Pacini, terminaisons de Ruffini, terminaisons nerveuses libres), sensibles à la pression manuelle.

Nocicepteurs:

Les fascias contiennent de nombreux nocicepteurs, principalement des nocicepteurs de fibres A et C, ce qui peut expliquer les descriptions de la douleur du fascia comme «bouillante, piquante, brûlantes et tranchantes».

Ceci peut amener le thérapeute à penser que la douleur perçue par le patient est due à une douleur neuropathique mais en réalité, la douleur vient des fascias. Une myriade de minuscules terminaisons nerveuses libres non myélinisées se trouvent presque partout dans les tissus fasciaux, mais particulièrement dans le périoste, dans les couches endomysiales et périmysiales et dans les tissus conjonctifs viscéraux.

Propriocepteurs:

Le fascia profond semble également avoir une fonction proprioceptive et peut donc affecter le contrôle moteur. L’hypothèse est que les expansions myofasciales pourraient garantir la coordination motrice entre les différents segments du corps, apportant un support anatomique aux chaînes myocinétiques.

Fibres sympathiques:

Le fascia et le système nerveux autonome semblent être intimement liés. La stimulation des mécanorécepteurs entraîne un abaissement du tonus sympathique ainsi qu’un changement de la viscosité des tissus locaux.

Des études sur l’anatomie du fascia thoraco-lombaire révèlent une relation étroite entre le système nerveux sympathique et la physiopathologie des troubles fasciaux. Quarante pour cent de l’innervation du fascia thoraco-lombaire sont constitués de fibres sympathiques, connues pour avoir un effet vasoconstricteur sur les vaisseaux sanguins, ce qui peut ensuite conduire à une ischémie du fascia. Cela peut aider à expliquer le phénomène d’augmentation de l’intensité de la douleur avec le stress psychologique, ce qui augmente l’activation du système nerveux sympathique.

Sources:

(Schidler et al, Pain 2014, Pain Rep 2018)

(Mense 2007; Tesarz et al. 2011).

(Gibson 2009; Deising et al. 2012).

(Stecco C. 2015a)

(Willard et al, 2012).

   Rentrée 2024/2025                     

Le planning 2024/2025 (en période scolaire)

   PRESENTIEL
   LUNDI 12H30 DOJO DE SAINT MATHIEU DE TREVIERS 34
   LUNDI 19H HAMEAU DU SOULIE LAURET 34
   MARDI 12H30 FOYER RURAL LAURET 34
   JEUDI 19H HAMEAU DU SOULIE LAURET 34

   EN VISIO
   LUNDI 19H
  JEUDI 19H
 

   TARIFS ET CONDITIONS EN VISIO PLUS HAUT

            FORUM DES ASSOCIATIONS

           le dimanche 1er septembre à St Mathieu de Tréviers de 9h à 12h

           le dimanche 8 septembre à Lauret de 9h à 12h

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[sgmb id= »1″]

 
 

P

Une méthode innovante, intuitive, douce

Un temps pour soi

L’extraordinaire pouvoir des FASCIAS, organe humain dont on connait aujourd’hui l’importance. Ce sont des tissus conjonctifs capables de produire des protéines de jouvence : l’élastine et le collagène

Un massage interne profond

Un travail au sol, des mouvements permanents en spirale

Un froissement et défroissement intramusculaire

Une lenteur dynamique

Le diaphragme et le psoas sont massés profondément

Vous souffrez de douleurs chroniques ? De migraines ? Vous dormez mal ?

VENEZ ESSAYER ET VOUS SEREZ CONQUIS !

Avec Isabelle HERNANDEZ, coach certifiée


EN VISIO : un ordinateur surélevé, une webcam, un espace de 2m50 au sol autour de vous, un grand tapis ou plaid ou couverture, une tenue confortable et claire

TARIFS

15€ à l’unité

120€ carte de 10 cours

320€ annuel pour 1 cours/semaine de septembre à juin

510€ annuel pour 2 cours/semaine de septembre à juin

Savez-vous que des études montrent que le fascia est plus douloureux que la peau ou les muscles?

Quand l’on touche le fascia, l’on touche directement et sommes en interrelation direct avec le système nerveux autonome.

Le fascia et le système nerveux autonome semblent être intimement liés. La stimulation des mécanorécepteurs entraîne un abaissement du tonus sympathique ainsi qu’un changement de la viscosité des tissus locaux.

Le réseau fascial est l’un de nos organes sensoriels les plus riches.

Comme le fascia est innervé, il peut également être une source importante de douleur. Cela dit, la contribution des fascias aux syndromes douloureux ne peut être sous-estimée.

Le fascia contient à la fois des mécanorécepteurs et des nocicepteurs et a également une fonction proprioceptive.

Mécanorécepteurs:

Les fascias sont densément innervés par des mécanorécepteurs (organes terminaux de Golgi, corpuscules de Pacini, terminaisons de Ruffini, terminaisons nerveuses libres), sensibles à la pression manuelle.

Nocicepteurs:

Les fascias contiennent de nombreux nocicepteurs, principalement des nocicepteurs de fibres A et C, ce qui peut expliquer les descriptions de la douleur du fascia comme «bouillante, piquante, brûlantes et tranchantes».

Ceci peut amener le thérapeute à penser que la douleur perçue par le patient est due à une douleur neuropathique mais en réalité, la douleur vient des fascias. Une myriade de minuscules terminaisons nerveuses libres non myélinisées se trouvent presque partout dans les tissus fasciaux, mais particulièrement dans le périoste, dans les couches endomysiales et périmysiales et dans les tissus conjonctifs viscéraux.

Propriocepteurs:

Le fascia profond semble également avoir une fonction proprioceptive et peut donc affecter le contrôle moteur. L’hypothèse est que les expansions myofasciales pourraient garantir la coordination motrice entre les différents segments du corps, apportant un support anatomique aux chaînes myocinétiques.

Fibres sympathiques:

Le fascia et le système nerveux autonome semblent être intimement liés. La stimulation des mécanorécepteurs entraîne un abaissement du tonus sympathique ainsi qu’un changement de la viscosité des tissus locaux.

Des études sur l’anatomie du fascia thoraco-lombaire révèlent une relation étroite entre le système nerveux sympathique et la physiopathologie des troubles fasciaux. Quarante pour cent de l’innervation du fascia thoraco-lombaire sont constitués de fibres sympathiques, connues pour avoir un effet vasoconstricteur sur les vaisseaux sanguins, ce qui peut ensuite conduire à une ischémie du fascia. Cela peut aider à expliquer le phénomène d’augmentation de l’intensité de la douleur avec le stress psychologique, ce qui augmente l’activation du système nerveux sympathique.

Sources:

(Schidler et al, Pain 2014, Pain Rep 2018)

(Mense 2007; Tesarz et al. 2011).

(Gibson 2009; Deising et al. 2012).

(Stecco C. 2015a)

(Willard et al, 2012).

Une méthode innovante, intuitive, douce

Un temps pour soi

L’extraordinaire pouvoir des FASCIAS, organe humain dont on connait aujourd’hui l’importance. Ce sont des tissus conjonctifs capables de produire des protéines de jouvence : l’élastine et le collagène

Un massage interne profond

Un travail au sol, des mouvements permanents en spirale

Un froissement et défroissement intramusculaire

Une lenteur dynamique

Le diaphragme et le psoas sont massés profondément

Vous souffrez de douleurs chroniques ? De migraines ? Vous dormez mal ?

VENEZ ESSAYER ET VOUS SEREZ CONQUIS !

Avec Isabelle HERNANDEZ, coach certifiée


EN VISIO : un ordinateur surélevé, une webcam, un espace de 2m50 au sol autour de vous, un grand tapis ou plaid ou couverture, une tenue confortable et claire

TARIFS

15€ à l’unité

120€ carte de 10 cours

320€ annuel pour 1 cours/semaine de septembre à juin

510€ annuel pour 2 cours/semaine de septembre à juin

Savez-vous que des études montrent que le fascia est plus douloureux que la peau ou les muscles?

Quand l’on touche le fascia, l’on touche directement et sommes en interrelation direct avec le système nerveux autonome.

Le fascia et le système nerveux autonome semblent être intimement liés. La stimulation des mécanorécepteurs entraîne un abaissement du tonus sympathique ainsi qu’un changement de la viscosité des tissus locaux.

Le réseau fascial est l’un de nos organes sensoriels les plus riches.

Comme le fascia est innervé, il peut également être une source importante de douleur. Cela dit, la contribution des fascias aux syndromes douloureux ne peut être sous-estimée.

Le fascia contient à la fois des mécanorécepteurs et des nocicepteurs et a également une fonction proprioceptive.

Mécanorécepteurs:

Les fascias sont densément innervés par des mécanorécepteurs (organes terminaux de Golgi, corpuscules de Pacini, terminaisons de Ruffini, terminaisons nerveuses libres), sensibles à la pression manuelle.

Nocicepteurs:

Les fascias contiennent de nombreux nocicepteurs, principalement des nocicepteurs de fibres A et C, ce qui peut expliquer les descriptions de la douleur du fascia comme «bouillante, piquante, brûlantes et tranchantes».

Ceci peut amener le thérapeute à penser que la douleur perçue par le patient est due à une douleur neuropathique mais en réalité, la douleur vient des fascias. Une myriade de minuscules terminaisons nerveuses libres non myélinisées se trouvent presque partout dans les tissus fasciaux, mais particulièrement dans le périoste, dans les couches endomysiales et périmysiales et dans les tissus conjonctifs viscéraux.

Propriocepteurs:

Le fascia profond semble également avoir une fonction proprioceptive et peut donc affecter le contrôle moteur. L’hypothèse est que les expansions myofasciales pourraient garantir la coordination motrice entre les différents segments du corps, apportant un support anatomique aux chaînes myocinétiques.

Fibres sympathiques:

Le fascia et le système nerveux autonome semblent être intimement liés. La stimulation des mécanorécepteurs entraîne un abaissement du tonus sympathique ainsi qu’un changement de la viscosité des tissus locaux.

Des études sur l’anatomie du fascia thoraco-lombaire révèlent une relation étroite entre le système nerveux sympathique et la physiopathologie des troubles fasciaux. Quarante pour cent de l’innervation du fascia thoraco-lombaire sont constitués de fibres sympathiques, connues pour avoir un effet vasoconstricteur sur les vaisseaux sanguins, ce qui peut ensuite conduire à une ischémie du fascia. Cela peut aider à expliquer le phénomène d’augmentation de l’intensité de la douleur avec le stress psychologique, ce qui augmente l’activation du système nerveux sympathique.

Sources:

(Schidler et al, Pain 2014, Pain Rep 2018)

(Mense 2007; Tesarz et al. 2011).

(Gibson 2009; Deising et al. 2012).

(Stecco C. 2015a)

(Willard et al, 2012).

Retour en haut